Congés forcés

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Je ne peux pas dire que j’ai été ravie de l’appel de Dame Tartine mardi matin. Ni de son message un peu plus tard dans la matinée, qui m’annonçait 2 jours d’arrêt maladie. Pas d’autre mode de garde à l’horizon… 2 jours de congés à poser, donc, que je ne pourrai pas utiliser à un autre moment, que j’aurais pu choisir celui-là.

Et puis au final, une petite parenthèse que la météo nous aurait de toute façon imposée. J’ai du aller récuperer MC à la gare du village d’à côté, coincé plus d’1h30 dans un train qui ne pouvait plus avancer. La parenthèse fut donc familiale, et bon sang qu’elle fut bonne! De ces petits temps où l’on a rien d’autre à faire que de profiter d’être ensemble et de se délecter de cette absence totale de contraintes (hormis celle d’être coincés chez nous, s’entend!). Au programme, compet’ de la meilleure flambée en cheminée, siestes (oui oui, au pluriel!), lecture sur canapé (ah, le bonheur!), bataille de farine dans la cuisine (pas ma faute, c’est Petit Gris qu’à commencé!), tartinage de crêpes, course aux bulles de savon, vélo sur neige, brouette sur neige, fendage de bûches (rapport aux flambées, forcément… MC a toujours aimé faire son bûcheron!)…

Bref, du bonheur en barre qu’on n’avait pas vraiment vu venir, et qui donne envie de remettre ça!